Directrice générale d’un Centre de la petite enfance et Présidente du Conseil d’administration de l’Aide internationale pour l’enfance (AIPE)
Ce qui l’indigne...
Les enfants privés du droit de jouer, du droit d’être aimés, d’être protégés, d’avoir des rêves. Les enfants privés du droit d’être des enfants…
Pour quelles raisons ?
Parce que l’enfance est une promesse que nous nous faisons à nous-mêmes comme êtres humains. Trahir l’enfance, c’est trahir notre dignité humaine au sens le plus profond.
Comment s’engage-t-elle à ce niveau...
En Inde, en supervisant les centres pour les enfants exploités de l’Aide internationale pour l’enfance. Nous soutenons des enfants ayant été victimes d’esclavage. Un support est également offert aux familles par le biais du microcrédit afin de favoriser la création d’activités génératrices de revenus et de contribuer à réduire leur vulnérabilité financière. Je m’implique également au Québec en gérant un centre de pédiatrie sociale, parce que le mépris de l’enfance, c’est au Québec aussi…