FAUX. Ce sont, pour la plupart, des pays d’Amérique latine, d’Afrique et du Moyen-Orient qui émettent le moins de gaz à effet de serre (GES) par habitant, mais qui doivent composer avec les impacts les plus sévères de la crise climatique.
Les GES ont poursuivi leur augmentation, malgré la volonté exprimée dans l’Accord de Paris sur le climat en 2015, qui prévoyait leur réduction. Les gouvernements et les entreprises des pays qui ont de fortes émissions de GES, dont le Canada, n’ont pas fait les efforts nécessaires pour les réduire et ont continué de soutenir les activités polluantes et émettrices de GES.